La gent féminine mise à l’honneur au CAS la Neuveville !

Partis sous le brouillard du Jura, nous voilà très rapidement à Interlaken où le soleil nous attend tout comme le traditionnel café croissant 😝

Nous longeons le bord de l’Aar à travers la réserve naturelle de Weissenau qui se caractérise par des zones alluviales et des bas-marais abritant une flore riche en espèces. Nous voici déjà au petit camping du bord du lac avant de monter aux Grottes de St-Beatus. La situation panoramique de ce flan du Beattenberg nous attire à un tel point que nous renonçons à la visite des Grottes, déjà connues de certaines randonneuses.

Ce joli chemin, quelque fois un peu escarpé, nous rappelle que nous sommes tout de même en rando et pas en balade ! Pour le retour au bercail, la possibilité de prendre le bateau à Merligen est une option, mais le groupe décide de rentrer par le rail.

Magnifique journée agréable dans tous les sens du terme.

Roger

Randonnée féminine, six dames se retrouvent pour cette journée. Le petit train pittoresque depuis Le Locle nous conduit aux Brenets. Le Doubs est haut avec un débit impressionnant dans la chute. Après une montée soutenue, nous arrivons à la grotte des faux monnayeurs. Les plus téméraires se glissent à l’intérieur. Pas d’argent mais des chocolats pour toutes. A la sortie de la forêt, nous sommes dans les prés où la végétation est luxuriante (herbe jusqu’à la taille). L’arrêt pique-nique est bienvenu. Nous continuons par la Voie Révolutionnaire jusuqu’au Maillard, une boisson fraîche est appréciée. Fin de la rando à la Chaux-de-Fonds. Un grand merci à toutes pour votre bonne humeur et compagnie.

10 clubistes, parc Gore Virat au dessus de Corcelles,

Nous partons pour rejoindre le sentier du Gore Virat, suivont le ruisseau, la pente abrupte et glissante du sentier demande une certaine condition physique, nous traversons une passerelle en bois qui permet de contempler les cascades. Une petite pause, avant de passer devant le restaurant du Raimeux <

Le chemin continue à travers les pâturages boisés, on longe la crête pour atteindre, l’ancienne tour militaire du Signal, qui se trouve au sommet du Raimeux.

Pique nique avant de redescendre en direction de la vallée passage par la Bergerie du Signal également fermé. Le sentier alterne entre pâturages boisés et falaises  passe par la Combe des Geais, pour se terminer à Grandval.

Une toute belle journée, avec une super météo MERCI

 

N’a pas eu lieu, faute d’inscription.
Il n’en reste pas moins que je ne peux que vous recommander la visite de ce musée, fort bien conçu et intéressant
https://museeduski.ch/

 

Richard

L’Emmental, jolie région pour randonneurs !

Arrivés à la gare de Worb-Dorf, nous débutons notre journée par une bonne boisson chaude au Tea-Room du village.

Aussitôt fait nos 8 participants s’engagent pour la montée au Lüüseberg à travers pâturages et forêts sur un chemin resté humide par les dernières chutes de neige. De jolis coins pique-nique sont amégagés et enjolivent le paysage déjà remarqué par ses grandes fermes isolées sur de verts pâturages.

Le chant des oiseaux et l’air pur et frais de cette campagne nous ragaillardisent. 

L’heure du pique-nique arrive et la fraicheur du vent nous oblige à renoncer aux places déjà aménagées. Pour nous protéger, nous nous enfilons  entre des billes de bois. Certaines… auront le privilège de s’assoir sur un banc devant la laiterie du coin.

Nous en venons déjà à la descente sur Schafhausen et nous avons le temps d’un verre avant l’arrivée de notre train. Ce typique restaurant de l’Emmental est déjà occupé par trois tablées de stökeurs. Il leur manquait les “stumpfs“ de l’époque et l’odeur de ces gros cigares !. Par contre le sérieux des joueurs nous faisait croire  qu’ils jouaient leurs patrimoine.

Le train nous reconduit à la maison  sans incident, la petite troupe regagne son domicile. Merci à chacun de sa participation et de sa charmante compagnie.

Roger

 

Course du 18 avril: Creux du Van  chef de course: Pierre Stamm

Partis pour une course printanière, nous nous sommes vite rendus compte, arrivés à La Fruitière qu'il ne nous manquait que les skis!

Pierre, pour sa première sortie avec les jeudistes a pensé à tout. Premièrement, il a planté un décor hivernal à couper le souffle dès le départ de la Fruitière en longeant la crête.

Deuxièmement, il n'a pas manqué de nous réchauffer à la Fontaine Froide par une bonne petite absinthe tirée du sac.

Troisièmement, tout a souri à Pierre qui, vu le vent et le froid, a modifié le parcours (en renonçant au 14 contours) en contournant le Creux du Van par le sentier du Single, direction la Grand Vy qui, par miracle était ouverte. Là, toute l'équipe a pu se réchauffer et se régaler d'une bonne soupe aux légumes et pain maison...avant de poursuivre et terminer son chemin sous un petit rayon de soleil bienvenu.

Pour clôturer cette magnifique course, Pierre nos propose un dernier arrêt à la Trinquette à Bevaix avant de nous quitter pour retrouver nos chaumières où il ne nous restait qu'à tirer de nos sacs, que nous n'avions même pas ouverts, notre pique-nique et notre thé pour le repas du soir!

Merci à Pierre pour cette première sortie qui laisse présager un bel avenir aux jeudistes avec ce nouveau chef de course.

 

Pour l’équipe

 

Anne-Marie

Jeudi 9 avril 8 heures. Onze clubistes prennent place dans trois voitures pour se rendre à Yens, petite bourgade du canton de Vaud, située au sud de Bière. C’est là que nous retrouvons Ariane et Elisabeth déjà installées dans le train qui nous conduit à Bière, point de départ de notre balade du jour. Avant de nous mettre en route, nous prenons le temps d’aller boire une boisson chaude, offerte par Ariane, qui fête aujourd’hui son entrée dans le club des retraîté(e)s. Après une heure de marche entre champs et forêts et tout en longeant par moment l’Aubonne, nous pénétrons dans l’Arboretum, à proximité du point le plus haut du domaine. Des bancs et une table nous y accueillent pour prendre l’apéro emporté dans nos sacs à dos. Le soleil, la vue sur les Alpes et l’ambiance chaleureuse nous inciteraient à nous attarder dans ce lieu sympathique, mais le programme de la journée nous pousse à nous remettre en route. Nous traversons une zone dédiée aux Pins originaires de différentes régions tempérées de la Terre avant de nous installer au bord d’un petit plan d’eau, abrité du vent frais qui souffle aujourd’hui. Après la pause pique-nique, nous montons à l’entrée principale de l’Arboretum où nous nous acquittons d’une taxe de 10 fr, modeste contribution à l’entretien de ce magnifique parc de 130 ha. Le sentier du Plan nous permet d’admirer de magnifiques arbres en fleurs: magnolias, pruniers, cerisiers d’ornement, cornouillers … Lorsque nous quittons l’Arboretum, il est déjà 15h30 et il nous reste encore une heure et demie de marche pour rejoindre Yens. Après la traversée du charmant village de Saint-Livres, nous poursuivons notre marche sur une petite route agricole goudronnée, mais qui a le mérite d’offrir un magnifique panorama sur le Léman et les Alpes franco-suisses à l’arrière-plan. Nous quittons Ariane et Elisabeth à 17.30 à la gare de Yens. Elles rejoignent le Jura en train et nous en voiture.

Merci aux douze participant(e)s à cette sortie qui aura permis à quelques-un(e)s de découvrir l’Arboretum de l’Aubonne.

Les 9 nouveaux ski-servicewoman et ski-serviceman ont réussi brillamment avec mention “excellent” le cours: Entretien des skis de randonnée. Leurs skis ont été chouchoutés, polichés. Ils sont prêts à dessiner les plus belles courbes dans les pentes poudreuses ou les couloirs raides de cet hiver.

Dans les locaux de Romain, au sous-sol de l’école secondaire du District, l’atelier du ski, ils ont d’abord rebouché les trous de leurs semelles, limé, râclé, poncé. Puis ils ont affûté leurs carres, réduit l’ABS, passé la lime pour obtenir un tombé de 0.5, des angles à 89°!  Pour enfin appliquer le fart à chaud, râcler, brosser avec le rouleau en bout de visseuse, et polir pour une finition parfaite. Nous avons passé une soirée instructive, conviviale, avec apéro… pizzas. Merci et bravo à tous.

Merci aussi à Romain pour son aide. Il propose des services complets de vos skis, réglage des fixations, encollage des peaux.

 

 

En ce jeudi 7 décembre, jour de St-Nicolas pour les Jeudistes, le soleil, dès le matin, condescend à nous accompagner pour la journée. Soulagement pour l’équipe organisatrice. Tout le programme peut se dérouler selon l’annonce de course. Pendant que les participants emmenés par Monique marchent depuis Orvin, avec ou sans raquettes, en direction des Prés d’Orvin et du chalet Sunneschyn, Daisy, Marianne, Ariane, Pierre et moi-même nous affairons : il faut pelleter la neige qui s’est accumulée devant le chalet, chauffer l’intérieur, prévoir l’arrivée d’eau, faire le feu, garnir les tables… tout est prêt à temps. Le vin chaud, préparé la veille par Monique selon la recette de Jeandrevin, ragaillardit, à leur arrivée, les 15 valeureux marcheurs et, peu après, les saucisses s’alignent sur le grill, chacun ayant apporté son ravitaillement. Tout le monde se retrouve à l’intérieur autour des deux tables de fête pour le repas. Plusieurs cakes de fabrication maison et apportés par Marianne, Elisabeth et Marcel ravissent les papilles tout comme d’ailleurs les grittibenz confectionnés par Ariane.

L’occasion est belle pour papoter et passer un bon moment ensemble. Mais tout a une fin. La nuit tombe vite et il faut resdescendre à Orvin pour les uns et remettre le chalet en ordre pour les autres.

Une fois de plus, belle journée ! A l’année prochaine.

 

Le sentier historique du sel est fermé à cause des travaux, le parcours est modifié pour que l’on profite de cette belle journée ensoleillée. Nous partons dans les gorges de la Covatannaz, puis nous nous dirigeons vers le Mont de Baulmes. Pique-nique au belvédère qui domine Baulmes et qui offre une vue magnifique sur les Aiguilles de Baulmes, le Suchet et les alpes. Arrêt café à l’auberge du Mont de Baulmes, suite de la rando en descente sur Ste-Croix, à l’entrée de la ville, on bifurque pour regagner les gorges et les voitures. Avec des participants enthousiastes, la journée a été parfaite. Merci à tous, c’est toujours sympa.

Encore une journée automnale réussie sur tous les points. Partis de la Neuveville avec le train de 07h02 nous voilà aussitôt rassemblés autour d’un café croissant à la Brévine. Nore petite troupe de 4 randonneuses accompagnant un homme privilégié 😉 se met en route. Nous découvrons le lac des Taillières comme un miroir reflétant les environs. Un véritable tabeau ! légèrement brumeux et doux, un climat agréable comme notre groupe. Nous poursuivons à travers les pâturages bien verts pour la saison pour nous trouver stoppé par un magnifique troupeau de vaches traversant notre chemin. Les propriétaires étaient contents de bavarder avec nous comme s’ils avaient besoin de papoter! Poursuivant notre chemin, nous voilà déjà au pique-nique, puis au point central de la Citadelle à 1212m.

Toujours sous cette harmonie bienfaisante nous progessons et descendons sur Môtiers pour reprendre notre train. La boisson bien fraiche était évidemment appréciée au 6 Communes de Môtiers

J’ai espéré 2 jours sans pluie, espoir exaucé ! Peu de soleil mais une température agréable pour marcher.

Après un déplacement en transports publics et un petit café, nous étions prêts pour notre étape du jour : 13 km, 800m de montée et presque tout autant de descente. Le chemin de randonnée longe tout d’abord l’Emme puis devient nettement plus pentu. En atteignant le Pfyffer, à 1316m, le panorama est habituellement magnifique… ce jour-là, malheureusement,  la Schrattenflue est quelque peu obstruée par les nuages. Après un effort supplémentaire, nous atteignons le Wachthubel, point culminant de la randonnée du jour. S’ensuit alors une descente d’environ une heure jusqu’à Schangnau.

Le lendemain, depuis le village, et après être passé par un pâturage, le Trans Swiss Trail rejoint la Junge Emme que l’on suit pendant environ une heure et demie en passant alternativement par des prairies et de petites parcelles de forêt. En chemin, un sentier didactique raconte la vie du champion de ski Beat Feuz, né à Schangnau. Nous passons par Kemmeriboden Bad mais, au grand désespoir de certains, pas le temps pour une meringue et, d’ailleurs, l’heure ne s’y prête pas ! En remontant sur l’autre versant de la montagne par des routes forestières ou empierrées, nous arrivons à Salwideli puis à Rossweid. De là, un beau sentier descend sur Sörenberg. Nous, après 5 heures de marche, nous choisissons le téléphérique qui ménage les genoux de quelques-uns et épargne un surcroît de fatigue aux autres.

Belle randonnée avec finalement 6 participants.

 

Une bien belle journée. Le départ très matinal aura retenu quelques clubistes, plutôt portés sur la grasse matinée..., à moins qu’ils aient redouté la longueur du trajet en train: nous ne sommes finalement que six au départ.

L’expérience d’une partie de la montée par le train historique Montreux-Rochers de Naye (construit entre 1892 et 1909) est vraiment unique. Nous le prenons jusqu’à la station de Paccot, au-dessous du Col de Jaman. La balade commence par une pente très raide, suivie d’une longue traverse conduisant au col. Après un petit arrêt à la fromagerie, la course se poursuit dans une combe que nous quittons par la gauche au-dessus de la Montagne d’Amont pour atteindre le Col deBonaudon (1753 m). Nous descendons pour atteindre la passerelle qui permet d’éviter les grottes de Naye (fermée en général jusqu’à mi-juillet à cause de la neige). Nous atteignons la Grande Chaux de Naye et, au lieu de suivre le sentier qui suit le fond de la combe pour aller jusqu’à la gare, nous suivons l’arête qui conduit directement au sommet (2042 m). Après le pique-nique, nous descendons jusqu’au restaurant pour boire le café et, c’est la que tout le monde se dégonfle et nous reprenons le train pour redescendre sur Montreux. Nos vieux genoux nous en remercient car la pente est vraiment très raide.

Pont de Nant cinq clubistes,  8h40 départ en douceur en longeant l’Avançon de Nant, au pont en bois traversée du ruisseau direction le Cinglo, au pied du Trou à l’ Ours devons enlever les sacs à dos pour le passage qui est étroit  aucune difficulté n’avons pas croisé l’Ours, arrivée au Cinglo pause avant de poursuivre  l’ ascension, sur la crête d’ un côté des  bouquetins de l’autre de magnifique  vue sur la plaine, le  Léman, les tours d’Ai etc. après quelques passages de pierriers, c’est  le col des Pauvres, pique-nique pour ensuite attaquer la descente par le Vallon  de Nant et rejoindre notre point de départ, arrêt à l’auberge pour un verre avant le retour.

Merci à vous tous pour la participation ainsi que la bonne humeur.